La Commission Nationale d’Adhésion, d’Agrément et de Titularisation, (CNAAT), est chargée de recevoir les candidat(e)s praticien(ne)s en thérapie relationnelle, désirant être reconnus par une assemblée de pairs, en vue de devenir membres TITULAIRES du syndicat.

La titularisation est un label de compétence, une référence.

Le nouveau titulaire pourra postuler aux postes de responsabilité au sein du syndicat :
– membre du conseil d’administration,
– membre de la CNAAT ou de la commission déontologie,
– responsable d’antenne régionale
– membre des comités régionaux d’adhésion ( CRA ) qui sont chargés de recevoir les nouveaux « membres adhérents ».

La CNAAT est composée de :

cinq membres titulaires élus par l’Assemblée Générale.
trois membres mandatés par le Conseil d’administration.

Le(a) président(e) de la CNAAT doit faire partie du conseil d’administration.

La commission se réunit pour recevoir les candidats à la titularisation avec au moins cinq membres, sauf dérogation votée par la C.A. Ponctuellement, tout membre du C.A. peut siéger à cette commission.

La CNAAT se réunit une fois par mois pour recevoir les candidats dont le dossier de demande de titularisation est complet, c’est à dire présente toutes les informations écrites répondant aux critères et renseignements demandés.

L’entretien avec le candidat dure une heure, à l’issue desquelles les membres de la commission votent (ils ne peuvent s’abstenir), en faveur de la titularisation ou de l’ajournement.

La décision est entérinée par le Conseil d’administration à partir du rapport qui lui est fait par des membres de la CNAAT présents lors de l’entretien du candidat.

Dans le cas d’un ajournement, le candidat est invité par courrier à approfondir tel ou tel critère insuffisant. L’étude préalable du dossier évite généralement la convocation d’un candidat qui ne présenterait aucune qualification au métier de praticien en thérapie relationnelle.

Outre l’accueil des candidats, la CNAAT travaille plus spécifiquement sur la manière d’évaluer les qualités attendues chez le postulant à la titularisation.
Ainsi pour chacun des principaux critères :

le processus de psychothérapie personnelle
la formation
l’expérience professionnelle
la supervision

nous avons cherché à distinguer les indices observables des indices mesurables et quantifiables.

Car apprécier les qualités d’un psychothérapeute est éminemment subjectif, comment donc objectiver une partie des critères requis ?